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 La Sélection 

DU cabanon épicerie

LA PROVENCE À PARIS

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 LIONEL BORLA: Du visuel au graphique

 

L’artiste a cheminé un temps avant que la peinture ne lui apparaisse comme une évidence, le territoire d’expression idéal pour donner libre cours à son imaginaire. La révélation, il l’eut précisément devant la composition Les Musiciens de Braque à la Fondation Maeght. Depuis, 21 ans ont passés et son plaisir reste intact. Chaque jour, le même sentiment de « plénitude et d’absolu » devant l’espace du papier encore vierge de ses traits et couleurs. 

Lionel nourrit sa peinture de ses premières passions, la musique - qu’il pratique de 13 à 18 ans - et l’architecture, qu’il étudie jusqu’à l’obtention de son diplôme à Marseille-Luminy. Durant ses études, il découvre la technique de l’aquarelle et des encres. « Ainsi (…) je comprenais, inéxorablement, que les deux dimensions de la peinture suffiraient à mon épanouissement. La troisième, celle de l’architecture m ‘était superflue » confesse l’artiste. 

Rigueur et rythme vont constituer les fondements de son vocabulaire graphique qu’il développe chaque jour, inlassablement, naviguant entre réalité et imaginaire, synthétisant le formel pour l’interpréter graphiquement. En parallèle, il se passionne pour l’esthétique des années 50, Le Corbusier, Matisse, Miro mais aussi des recherches picturales de la fin du XIXe, avec Valloton, Denis, Derain…etc… Ces influences se ressentent dans ses compositions bidimensionnelles. Il peuple ses espaces-plans de silhouettes épurées, de signes graphiques, d’aplats de couleurs, de pleins et de vides. Les thèmes sont ceux du sud où il a toujours vécu - de Menton à Marseille-  et auquel il rend hommage : Scènes de plage, baigneuses, pinède, cabanons, architectures, toutes les formes stylisées virvoltent telles des notes de musique dans monde silencieux, baigné de joie par la couleur et les tonalités lumineuses.  

Lionel Borla a développé une écriture qui lui est propre et parle à tous. D’ailleurs ses toiles et dessins numériques - créés sur IPadPro comme le faisait David Hockney avant lui- se retrouvent sur les cinq continents où il expose et compte de nombreux collectionneurs. 

ENW 

L’heureux hasard des coulures

 

Après une 1ere vie dans la communication à Paris, Emmanuelle Wirasmus est devenue céramiste en 2009 et fonde sa marque ENW la même année. Elle installe son atelier dans la petite dépendance d’un vieux mas provençal situé dans la campagne aixoise. Là, elle développe depuis 4 ans, des séries limitées d’objets décoratifs et utilitaires auxquels elle apporte sa poésie. Aux 3 éléments vitaux, terre-eau-feu qui permettent de faire de la céramique, elle ajoute l’air pour projeter ses couleurs sans l’intervention du pinceau dans ses décors aux engobes*.  L’artiste souffle avec la bouche, couvrant ses objets d’un vermillon chatoyant ou d’un bleu « Klein » lumineux pour répandre la couleur de façon aléatoire et donner cet aspect projeté, saisi et absorbé par la terre comme un buvard. Un même geste rapide pour un rendu qui est le fruit du hasard, donnant un caractère unique à chaque pièce. Comme dans la série « coulure », qui, en 2013 l’a fait connaître.Une collection qui résume bien son univers épuré, graphique, design mais aussi organique et naturel, avec toujours cette même envie d’être surprise, de ne pas tout maîtriser. « Je laisse beaucoup de place au hasard, concède Emmanuelle. Le hasard de l’erreur du geste m’inspire et je guette cet instant » ajoute-t-elle malicieusement. La série« coup de pouce » est justement née d’un accident: La chute d’une pièce d’argile pas encore cuite dans laquelle son pouce s’est enfoncé, créant une cavité harmonieuse qui l’inspira.  Au début de son activité, Emmanuelle est partie avec l’idée de créer des pièces utilitaires lance t-elle. . Elle ajoute « » mais cela lui permet d’exposer aussi bien en galerie qu’en boutique. Aujourd’hui, Emmanuelle a dompté la terre, maitrise l’outil et part vers des objets plus complexes, pleinement créatifs et instinctifs comme ses  sculpturaux qui nécessitent 2 mois de travail. Les commandes d’objets utilitaires personnalisés qu’elle rend « swag » affluent (noms de villa sur assiettes, prénoms sur bols et mugs) et les réseaux sociaux aident à faire circuler son talent de créatrice. Depuis quelques années elle excelle dans la création d'objets en porcelaine. Une sélection à découvrir en boutique. 

*pigments purs mélangés à de la terre liquide

SoKpsul

Sous la marque soKpsul "la miette"a conçu avec passion une nouvelle ligne de sacs en détournant une matière recyclée utilisée pour la fabrication de "pièce à frotter" *en Marseillais plus communément appelée serpillières.  Mais il ne s’arrête pas là et réalise également des bracelets en foulards recyclés ( qui auraient pu appartenir à votre grand mère !) Des sacs et des plaids en couverture de déménagement.
Notre philosophie : recycler et détourner des matières de leurs destinations premières. L’axe de développement de soKpsul est la qualité, l’innovation et l’authenticité dont résulte des collections simples mais sophistiquées et chic.

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13 A L’AISE 

​Vêtements et accessoires

La belle aventure 13 à l'aise débute en 2010 à Marseille lorsque Fada le pêcheur naît du monde imaginaire de Badice Benarbia, jeune créateur, passionné de bande dessinée.  Fort de son expérience dans l’édition de comics, il a souhaité représenter l’art de vivre dans le Sud de façon décalée en se jouant des clichés. L’esprit original de la marque s’inspire donc de l’univers de la BD avec l’histoire d'une famille 13 à l'aise, évoluant sur tous les t-shirts, sweats, robes, chapeaux, sacs et accessoires de la marque.

 Avec l’éloge de la paresse en toile de fond d’une histoire insolite, la marque raconte au fil des saisons, les aventures de Fada, le meilleur pêcheur à la ligne. Dans sa Deuch, dans son hamac, sur son scooter, en famille, entre amis pour une partie de pétanque, Fada fait découvrir avec une touche d’humour, sa conception un peu loufoque de l’art de vivre dans le sud: prendre le temps de vivre en famille ou entre amis dans un environnement chaleureux grâce au soleil du sud.

Devant le succès rencontré dès 2010, le jeune créateur a décidé d’ouvrir une première boutique, le Cabanon de Fada, au cœur d’un quartier historique de Marseille, Le Panier, à quelques vols d’oiseau du Vieux-Port. Plus qu’une boutique, c’est un havre de paix où l’on peut dénicher de véritables produits inédits. Séduite par le concept, La Provence à Paris, comme de nombreuses boutiques du sud est heureuse de distribuer une sélection de produits 13 à L'Aise. 

J’AI VU LA VIERGE

J’ai vu la Vierge est une marque marseillaise qui veut mettre du rock et du peps là où l’on ne l’attend pas. Une boule à neige, un magnet... l’idée est de réinventer la babiole poussiéreuse pour qu’elle s’installe avec impertinence et élégance dans nos chez nous. Et avec la mention « made in France » ! Le duo, couple à la ville, derrière J’ai vu la Vierge a commencé par draper de couleurs pop des statuettes de Notre-Dame de la Garde, puis les a mises en boule.

Après ce premier modèle baptisé La Bonne Mère, la collection s’enrichit avec Marie, la Sainte Vierge et Gustave, la Tour Eiffel.
Quelques projets dans les tuyaux comme celui de la Cracotte ou Eclaire-moi.

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